samedi 11 octobre 2014

L.A. Confidential

Il ne s'agit ni du roman de James Ellroy, ni du film qu'en a tiré Curtis Hanson, mais bien de notre découverte de Los Angeles.
Commençons, puisque c'est là que la Route 66 s'achève, par Santa Monica, le pier (jetée), les plages, la côte.


Sur le pier, on peut trouver, outre les fans de la Route 66, des attractions, des Japonais se prenant en photo (comme partout), des musiciens de talent (chacun dans son genre : blues et folk pour ces 2 là), des pêcheurs, des mouettes...







Pour nous, pas de Hollywood Boulevard avec ses étoiles et empreintes de stars, pas de visite de studios de cinéma, mais un petit tour par le Pueblo, quartier hispanique originel de la ville, qui a gardé un caractère hispanique avec sa gare, sa place, ses édifices, ses boutiques. On y discute sur un banc ou, comme ce vieux noir, on peut esquisser trois pas de danse sur une musique aux consonances andines









Puis ce fut une visite à l'un des points de vue donnant sur les fameuses lettres dressées sur la colline, et placées là à l'origine par un agent immobilier. A cette occasion, nous avons pu voir l'observatoire qui joue un grand rôle dans "La fureur de vivre" ; James Dean y est d'ailleurs représenté en effigie, surplombant de son regard quelque starlette en rêve de sunlights ;-)






Passage ensuite par "Downtown", le centre ville, où les "locaux" semblent se la couler douce et où nous avons pu voir, outre un immense "mural" en hommage à Anthony Quinn, un marché couvert et quelques immeubles "anciens" (tout est relatif ici en ce qui concerne le patrimoine historique) voisinant avec des bâtiments résolument avant-gardistes, comme le Walt Disney Concert Hall, oeuvre de l'architecte Frank Gehry






Pour terminer, petite balade en voiture sur Mulholland Drive, clin d'oeil à David Lynch !






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